Après avoir expérimenté son répertoire en trio (basse, batterie), puis en quartet (trompette, saxophones, percussions), c’est donc en duo qu’Orcival décide de renouer avec ses premières amours de l’époque de son quartet Bazaar Boutik : les cordes frottées.
On peut retrouver Orcival, aka Julien Bouttard, dans les couloirs de l’école de musiques vivaces Music’Halle les soirs où il anime, depuis plusieurs années déjà, un atelier de musique du monde. Dans le cadre d’un concert à la Topina avec cet atelier, il rencontre la violoncelliste Hélène Lagarde, qui jouait le même soir dans l’atelier de musiques méditerranéennes de Thierry Di Filippo.
La rencontre humaine et musicale est immédiate et la collaboration commence quelques mois plus tard.
Cette rencontre coïncide avec l’ouverture sur des textes en Français pour le nouveau répertoire, et lui permet d’envisager un nouveau disque avec cette couleur du violoncelle rappelant le lyrisme et la poésie de son répertoire. En effet, la sonorité du violoncelle d’Hélène Lagarde s’entremêle à celui de la guitare pour former une sculpture musicale cosmopolite, sensible et énergique.
Une collaboration violoncelle et violon est envisagée dans le futur.